outils pour la sgbd Oracle

Bien positionner votre instance avec ORACLE_SID

1) Sous debian linux,

apt-get install rlwrap

puis lancer rlwrap sqlplus … pour utiliser vos touches retour arrière et flèche haute

Puis l’automatiser sqlplus par l’alias sqlplus=’rlwrap sqlplus’ dans votre fichier .bashrc

2) dbca, la commande oracle pour créer la base oracle. netca pour créer le listener

3) Sous sqlplus, on peut utiliser L ou R pour rappeler la requête utilisée

4) Démarrer l’interface web de oracle:isqlplusctl start, l’url est http://localhost:5560/isqlplus

5) Création de l’utilisateur test:

sql>create user test identified by test_passwd;

sql>grant create session to TEST;

sql>grant connect to TEST;

6) Afficher la requête par l’utilisateur MR:

sql>SELECT a.sid,a.username,
s.sql_text
FROM v$session a,v$sqltext s
WHERE a.sql_address = s.address
AND a.sql_hash_value = s.hash_value
AND a.username = ‘MR’
ORDER BY a.username,a.sid,s.piece;

7) Création de tablespace:

sql>create tablespace tbsp_data datafile ‘/opt/oracle/u01/app/oracle/oradata/tbsp_test.dbf’ size 10m extent management local uniform size 128k;

8) voir user/tablespace:

sql>SELECT username, account_status, default_tablespace from dba_users where username = ‘mon_user’;

sql>select username, program from v$session;

sql>SELECT b.tablespace,ROUND(((b.blocks*p.value)/1024/1024),2)||’M’ « SIZE »,a.sid||’,’||a.serial# SID_SERIAL,a.username, a.program
FROM sys.v_$session a,
sys.v_$sort_usage b,
sys.v_$parameter p
WHERE p.name  = ‘db_block_size’
AND a.saddr = b.session_addr
ORDER BY b.tablespace, b.blocks;

Exemple de conversion de tablespace:

RMAN> CONVERT TABLESPACE finance_tbs01
2> TO PLATFORM ‘HP-UX (64-bit)’
3> FORMAT ‘/temp/%U’;
Starting backup at 09-MAY-05
using channel ORA_DISK_1
channel ORA_DISK_1: starting datafile conversion
input datafile fno=00011 name=C:\ORACLE\TEST02.DBF
converted datafile=C:\TEMP\DATA_D-FINANCE_I-2343065311_TS-TODAY_FNO-11_05FLAUM6
channel ORA_DISK_1: datafile conversion complete, elapsed time: 00:00:17
Finished backup at 09-MAY-05
RMAN> exit
Recovery Manager

Rapport de la base:

sql>@$ORACLE_HOME/rdbms/admin/awrrpt.sql

sql>@$ORACLE_HOME/rdbms/admin/ashrpt.sql

Quelques commandes systèmes sous mac osx

Appuyez sur X pendant le démarrage Groupe démarrage Mac OS X
Appuyez sur Option-Commande-Maj-Suppr
pendant le démarrage
Bypass primaires volume de démarrage et de chercher un autre volume de démarrage (comme un CD ou un disque externe)
Appuyez sur C pendant le démarrage Démarrez à partir d’un CD qui a un dossier système
Appuyez sur N pendant le démarrage Essayez de démarrer à partir d’un serveur réseau compatible (NetBoot)
Appuyez sur T pendant le démarrage Démarrage en mode disque cible FireWire
Appuyez sur Maj pendant le démarrage démarrage en mode sans échec et désactiver temporairement les éléments de connexion et non essentiels fichiers d’extension du noyau (Mac OS X 10.2 et versions ultérieures)
Appuyez sur Commande-V pendant le démarrage Démarrage en mode verbose.
Appuyez sur Commande-S pendant le démarrage Démarrage en mode utilisateur unique
Option-Commande-D Afficher / masquer le Dock
Commande + Tab Basculer vers l’application
onglet Highlight élément suivant
Commande + Flèche Monter d’un répertoire
Command-Flèche vers le bas Descendre d’un répertoire
Page Up ou Control-Up Arrow Monter d’une page
Page Down ou Control-flèche vers le bas Descendre d’une page
Option + faire glisser Copier nouvel emplacement
Option-Commande-glisser Créer un alias dans le nouvel emplacement
Commande + faire glisser Déplacer vers un nouvel emplacement sans copier
Maj + Commande + C Afficher les couleurs de palette dans l’application
Commande + T Afficher la palette des polices dans l’application
Commande-Maj-3 Prenez une photo de l’écran
Commande-Maj-4 Prenez une photo de la sélection
Commande-Maj-4, puis appuyez sur Ctrl tout en sélectionnant Prenez une photo de l’écran, le placer dans le Presse-papiers
Commande-Maj-4, puis la barre d’espace Prenez une photo de la fenêtre sélectionnée
Option-Commande-esc Forcer à quitter
Contrôle-Ejecter Redémarrez, Sommeil, boîte de dialogue Arrêt
Contrôle-Commande-Eject Quittez toutes les applications et redémarrer
Option-Commande-éjection ou
Option-Commande-Alimentation
Sommeil
Commande-clic bouton de la barre de fenêtre (coin supérieur droit) Faites défiler les vues disponibles pour la barre d’outils de la fenêtre (en fonction de la nature de la fenêtre du Finder ou une application)
Commande ` Faites défiler les fenêtres dans l’application ou du Finder (si plus d’une fenêtre est ouverte)
Fonction-Delete (portables uniquement-PowerBook, iBook, MacBook, MacBook Pro) Forward Delete (effacer le caractère à la droite de votre curseur)

Backup et restauration de proxmox

exemple de backup:

#vzdump –snapshot –compress –dumpdir /root 102

cela creera un fichier vzdump-qemu-102….tgz

exemple de restauration:

#qmrestore   vzdump-qemu-102….tgz 103

cela creera une vm en 103 identique a 102, il ne faut oublier de modifier l’ancienne adresse ip de la 103.

Backup avec backuppc sur plusieurs disques

information sur le web

Sources :
http://wiki.auf.org/wikiteki/ZAO/Dakar/Configuration/Backup ++++ 😉 clin d’oeil à Jérôme. Toutes
ces idées sont de lui.
http://backuppc.sourceforge.net/faq/BackupPC.html ++++
http://www.klipz.fr/tutoriel_backuppc.html +++
http://doc.ubuntu-fr.org/backuppc –

BACKUP de BackupPC :
On ne peut pas faire de backup, sans faire de backup de ce backup. Sinon, ça ne servirait à rien. Le
jour où le serveur de backup tombe en panne, ou brûle, ou tombe dans de l’eau; ou explose, …
qu’allons nous faire ? On aura l’air trop con. Bref ! On fait donc un backup de backup, voire même
un backup de backup de backup…
Avec notre serveur de backup, nos backups se trouvent dans /var/lib/backuppc/, c’est donc se
répertoire qu’il faut sauvegarder.
Plusieurs techniques existes, mais en gros, ce qu’il faut retenir, c’est qu’il est juste un peu intelligent
de ne pas avoir le backup du backup pas dans le même local que le backup. Après on peut faire tout
ce qu’on veut pour réaliser ce papa de backup ; par exemple, en mettant un autre serveur dans un
autre local qui vient copier les données régulièrement, ou bien faire des sauvegardes périodiques sur
disques durs externes qu’on cache ailleurs, ou même combiner les deux méthodes, et avoir des
bandes magnétiques aussi… Bon, nous ce qu’on choisit, c’est la plus simple, parce que déjà, on est
quand même au niveau de backup de backup, sinon ça commence à devenir trop sophistiqué, et là
on s’y perd tous. (Je commence à dire des bétises là : OBJECTION)
Alors, pour sauvegarder le BackupPC sur un disque dur externe, on fait tout simplement de la copie
de partition avec partimage.
# partimage <options> /<partition> /<disquedurexterne>/<fichierimage>
En gros, y’a que ça.
Détails : Avec un disque dur extrene USB de 700 Go reconnu en tant que /dev/sdc : (toutes les
commandes) :
# fdisk /dev/sdc // avec ça, je vais créer une partition /dev/sdc1
# pvcreate /dev/sdc1 // Créer un PV
# vgcreate usb0 /dev/sdc1 // Création du VG usb0
# lvcreate -L 698G -n backup usb0 // Création du LV baackup dans le VG usb0
On a donc une partition LVM /dev/usb0/backup sur notre disque dur externe.
# mkfs.ext3 /dev/usb0/backup // On formate la nouvelle partition en ext3. On pourrait le faire aussi
en ext2. Bon non, on garde ext3, y’a de la journalisation, ça pourrait être utile.
# mkdir /sauvegarde // On crée un répertoire
# mount -t ext3 /dev/usb0/backup /sauvegarde // On la monte, cette partition du disque externe
Supposons donc que notre /var/lib/backuppc est en fait le point de montage de /dev/sata0/backup.
# lvcreate –snapshot –size 10G –name backupsave /dev/sata0/backup // C’est là que c’est très
intéressant. Partimage ne peut pas utiliser une partition montée et donc en cours d’utilisation.
Heureusement que LVM permet de prendre une vue (snapshot) d’une partition à un instant t donné,
et c’est cette vue qui sera sauvegardée. Lvcreate crée un snapshot (snapshot, genre une photo de la
partition), size = 10G précise que les changements opérés sur la partition seront sauvegardées dans
un espace de 10Go. En effet, snapshot, ne copie pas vraiment les données de la partition dans un
autre espace disque, il crée juste un endroit où il garde les traces des modifications opérées sur la
partition. Toute modification faite sur la partition réelle est enregistrée, ce qui permet de voir la
partition dans son état au moment de la création du snapshot (et donc d’avoir notre snapshot). (C’est
plus malin quand même).
Ensuite, on crée un répertoire pour monter et démonter notre gentil snapshot. C’est con mais, c’est
comme ça ; sans ça, partimage qui vient juste après ne veut pas marcher.
# mkdir /tmp/quedale
# mount /dev/sata0/backupsave /tmp/quedale && umount /dev/sata0/backupsave
Démarrons maintenant notre sauvegarde de sauvegarde avec partimage :
# partimage [options] save /dev/sata0/backupsave /sauvegarde/image
Où [options] égal : -b -B ‘=’ : pour avoir le mode batch et non interactif avec l’interface bidon là !!
-z0 : pas de compression (peut être z1 ou z2 ==> compression)
-o (–overwrite) : Effacer les sauvegardes précédentes
-d (–nodescr) : Pas de demande de description pour aucune image
-M (–nonmbr) : Pas de backup de MBR
-c (–nocheck) : Pas de check de partition avant de commencer à travailler
Notre backup de backup est donc faite et se trouve sur le disque dur externe USB. On peut donc
démonter la partition, rendre le lvm inactif et retirer le disque pour le conserver ailleurs loin du
serveur.
# umount /sauvegarde
# vgchange -an /dev/usb0
Restauration du backup de backup :
Brancher le disque dur USB
Monter la partition du disque :
# vgchange -ay /dev/usb0
# mount /dev/usb0/backup /sauvegarde
Puis restaurer :
# partimage [options] restore /dev/<autrepartition> /sauvegarde/image
ou bien :
# partimage [options] restore /dev/sata0/backup /sauvegarde/image // restauration directe de la
partition de backuppc
Ensuite, on monte la partition /dev/<autrepartition> et on retrouve nos backups de PCs.
FIN de FIN de Backup de backup
[Bon ! Maintenant il faut faire des scripts de sauvegardes automatiques si cela vous intéresse, et
faire un peu de crontab. C’est plus intéressant en tout cas. Encore plus intéressant, utiliser udev
pour lancer des scripts quand les disques se branchent. Peut être utile de tester les disques au
moment où on les branche. Comme ça, en cas de problème, on cherche à résoudre avant que le
programme de backup de backup (avec partimage) se lance. Peut être que si je suis inspiré je ferai
une documentation de ça une prochaine fois]

exemple de rsync + ssh

rsync

en ssh

rsync -az /home -e ssh mimi@serv:/data2/foo

ssh2:

rsync -az /home -e « ssh -2 » mimi@serv:/data2/foo